Draco Dormien Nunquam Titillandus


Bonjour bonsoir et bienvenue.
Vous voici dans un blog recueil. Ici, n'espérez pas trouver des photos de vacances ou des longs monologues sur mes amis. Non; ce que vous trouverez, c'est des écrits.
Certains originaux, n'ayant pour base seule celle que mon esprit leur a tissé, et d'autres s'inscriront dans le grand registre de la fanfiction, notamment sur Harry Potter, mais il est probable que des Hunger Games apparaissent d'ici quelques temps.
Ici, les genres se mélangent, mais ne se confondent pas. Certains vous feront rire, d'autre vous rendrons triste, mais d'une façon ou d'un autre, j'espère pouvoir vous faire ressentir une émotion.
Je ne vais pas palabrer pendant des heures, le temps est a la lecture et a la découverte, alors laissez vous bercer par la magie des mots...

lundi 18 août 2014

And by a sleep to say we end The heartache, and the thousand natural shocks That flesh is heir to

"And by a sleep to say we end The heartache, and the thousand natural shocks That flesh is heir to" - Shakespeare

Résumé : Pensées et dépression d'Harry Potter suite à la bataille de poudlard - post 7ieme tome (8ieme film)

Ce bruit incessant me tourmente, m'emplis le crane, tourne et retourne chamboule tout les recoins de mon esprit, le dévastant jusqu'à n'en laisser que des cendre... Le bruit d'un enfant qui pleure.

Que j'aimerais le faire taire ! Dus-ai je le tuer pour cela, je ne supporte plus de l'entendre sangloter mes remords et mes regrets. Mais mes désirs ont beau être plus ardent qu'un feu destructeur, il ne cesse de geindre.

Il ne m'a jamais quitté, du moment ou il est apparut. C'était le 2 mai de mes 17 ans, ce jour la... Fut celui ou je commis le meurtre. Celui d'un homme abject martyrisant mon peuple, certes, mais je ne peu m'empêcher de penser qu'en ses veines coulait la vie, et que je n'ai fais que les assécher d'un malheureux retour de sort.

Peut être aurais-je du mourir aussi ?

Oh bien sur, l'enfant n'est pas apparut en grands cris au moment ou le sort toucha ma victime, non. En ce moment c'était les rumeurs de la bataille qui venait de prendre fin qui me hantaient, il est venu tout d'abord comme un léger son agaçant, mais facilement ignorable, pour gagner en intensité a chaque secondes passant... Le soir tombé, il ne restait que lui, la douleur qu'il me provoquait, et mes envies d'en finir...

Plus rien n'a d'importance. J'aimerais tant lui dire que pleurer ne sert a rien, ni les larmes ni les mots n'importent, la douleur même n'est qu'insignifiance. J'aimerais tant l'enlacer, le réconforter, lui montrer que tout ira mieux... Mais ce serrait un mensonge.

Cet enfant, tout compte fait, n'est personne d'autre que celui que j'ai été, le pauvre petit enfermé dans un placard, affamé, enfermé, parfois battu, et toujours désespéré... Mais l'espoir n'est pas venu, et je sais qu'il ne viendra jamais.

Suffit ! A bah les faux semblants, les sourires crispés pour cacher sa peine. Non je ne le rejoindrais pas dans son désespoir plus encore, non... La seule chose que j'irais rencontré, les la douce et calme quiétude du vide infini de a mort.

Sonne sonne mon glas. Je rejoins l'obscurité et l'oubli.

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